L'intégration de l'IA générative dans les processus de développement transforme radicalement l'expérience développeur, ainsi que les *soft* et *hard* skills attendues.
Avec sa mise à jour 2025, la FinOps Foundation fait tomber les cloisons : désormais, toutes (ou presque) les ressources IT — SaaS, datacenters, IA, cloud public — entrent dans le radar
Les systèmes agentiques connaissent une vogue extraordinaire qui masque parfois leurs limites et les défis qu'ils soulèvent.
L'intégration de l'IA générative dans les processus de développement transforme radicalement l'expérience développeur, ainsi que les *soft* et *hard* skills attendues.
Si vous avez déjà expérimenté Cursor, Windsurf ou Claude Code, vous le savez, une transformation radicale du métier de développeur est en marche. L'écriture de code, de plus en plus confiée à l'IA générative, va se réduire, laissant place à un rôle de guide et de garant de la qualité.
Cette évolution rappelle celle des créateurs de projets open source. Initialement seuls à coder, ils deviennent, avec l'arrivée de contributeurs, les gardiens du projet, validant les "pull requests" et passant plus de temps à relire, commenter et guider qu'à coder eux-mêmes.
Nous allons tous devenir des "mainteneurs" de nos projets, assurant la cohérence et la qualité du code produit par l'IA.
Didier Girard
Aurélien Pelletier
Sandrine Boiteau
Avec sa mise à jour 2025, la FinOps Foundation fait tomber les cloisons : désormais, toutes (ou presque) les ressources IT — SaaS, datacenters, IA, cloud public — entrent dans le radar
Les systèmes agentiques connaissent une vogue extraordinaire qui masque parfois leurs limites et les défis qu'ils soulèvent.
Les discours sur l’avenir du travail oscillent souvent entre euphorie technologique et scénario catastrophe. D’un côté, l’IA nous promet un monde plus efficace, de l’autre, elle signe l’arrêt de mort de milliers d’emplois. Entre ces deux extrêmes, la réalité est évidemment plus complexe.
Exiger des cas d’usage sans usage revient à inverser la logique naturelle d’adoption : ce n’est pas en décrétant où la GenAI sera utile qu’elle sera utilisée, mais en la rendant accessible à tous, pour qu’elle s’infiltre progressivement dans les pratiques et révèle son potentiel dans le temps.
